Tous ces éléments sont nécessaires pour que le polyamory fonctionne.
Ils sont venus me voir pour comprendre comment s’engager dans une non-monogamie éthique. J’ai également vu des gens qui se sont peut-être engagés dans une monogamie en série, mais qui ont remarqué que quelque chose se sentait éteint et ils sont entrés en thérapie pour explorer leurs préférences relationnelles et sexuelles.
Qu’est-ce que la non-monogamie éthique ou consensuelle?
La non-monogamie éthique peut être définie comme un multi-partis responsable et il existe lorsque les partenaires décident – simultanément – pour permettre d’avoir plus d’une relation sexuelle ou romantique à la fois. Le consentement et l’honnêteté sont les caractéristiques de la non-monogamie éthique. Ce n’est pas la même chose que l’infidélité, qui n’implique pas le consentement de toutes les parties et implique généralement de mentir pour dissimuler une relation extra-conjugale.
La non-monogamie éthique est sur un continuum qui va de monogamisme le chemin du polyamory. Je définirai certaines des formes principales, mais gardez à l’esprit que les personnes qui s’engagent dans ces pratiques pourraient étiqueter ou se définir différemment.
Monogamish, ouvert et swing
Monogamish décrit un Couple qui est cliquez dessus principalement monogame, mais qui a convenu de situations où ils peuvent avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Un exemple est les couples qui ont des «passes de salle» – pour utiliser un terme souvent utilisé dans les médias populaires.
Ensuite, les relations ouvertes sont ouvertes. Les couples qui se considèrent comme dans une relation ouverte peuvent afficher un large éventail de styles. Certains couples pourraient adopter une politique de ne pas demander / ne disent pas où il est convenu qu’ils peuvent avoir des relations extérieures, mais aucun des partenaires ne veut connaître les détails. Il existe d’autres couples dans des relations ouvertes qui partagent chaque détail les uns avec les autres.
Le swinging est généralement effectué en couple et est une activité qui fournit une variété et peut aider le couple à maintenir l’intérêt sexuel et l’excitation. Les partenaires extérieurs peuvent être partagés par le couple, mais ces partenaires ne sont généralement pas des relations en cours ou romantiques. Comme pour toute pratique éthique non monogame, le couple discute des limites à l’avance et les accepte. Ils vérifient périodiquement pour voir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.
Polyamory
Le polyamory peut être défini comme un désir et une pratique de maintenir simultanément plusieurs relations amoureuses intimes. Les individus peuvent être polyamoureux même s’ils ne sont pas dans une relation, tout comme quelqu’un qui est monogome. De plus, un couple peut être polyamoureux même si l’un ou les deux n’ont pas de partenaire extérieur à l’époque.
Les individus polyamourous s’engagent parfois dans une relation avec un couple. Les couples peuvent avoir des partenaires conjoints ou chaque partenaire peut avoir leurs relations significatives.
Certaines personnes polyamoureuses croient en une héirarchie et d’autres non. Dans un style de relation hiérarchique, l’individu croit en ayant un partenaire principal. Par exemple, ils pourraient avoir un mari avec qui ils vivent et diviser les finances, et un petit ami et un amoureux. Les étiquettes pour chacune de ces relations appartiennent aux personnes impliquées. Une personne non hiérarchique ne pense pas à l’amour de cette manière – tout le monde est considéré comme égal.
Selon la façon dont vous choisissez de le voir, le polyamory peut être super compliqué; Cependant, je choisis de le voir comme un moyen de vous adapter à vous et à votre partenaire (s) style relationnel pour maximiser le bonheur pour toutes les parties impliquées.
Le mythe des langues d’amour
Explorer Polyamory
En plus des styles de relation que je viens de décrire, il y a plusieurs autres concepts que vous rencontrerez lorsque vous explorez Polyamory.
La nidification est un terme utilisé lorsque vous vivez avec un partenaire ou partenaires. Les gens qui sont poly peuvent choisir de nid ou non. J’ai travaillé avec des patients qui ont plusieurs partenaires et n’ont pas l’intention de vivre avec aucun d’entre eux ainsi que ceux qui choisissent de vivre avec un partenaire parce qu’ils ont des modes de vie et des habitudes similaires.
Polycule est un Terme utilisé pour décrire un groupe de personnes connectées par des relations amoureuses. L’exclusivité est parfois présente dans les relations polyamoureuses. La polyfidélité signifie que tous les partenaires au sein d’un groupe ne sont sexuels que les uns avec les autres.
En polyamory, il y a aussi le concept de compersion, qui est l’opposé de la jalousie. La compersion est un véritable bonheur pour les expériences positives d’un partenaire avec d’autres partenaires. La compersion ne vient pas toujours naturellement en polyamory. Une grande partie du travail que je fais en tant que thérapeute aide les partenaires inclus des partenaires pour traiter efficacement et réduire les sentiments de jalousie et évoluer vers la compersion. Si vous êtes une personne très jalouse, vous voudrez certainement rencontrer un thérapeute avant d’ouvrir votre style de relation.
De plus, vous ne devriez jamais vous sentir obligé d’adopter PolyAmory parce que vous rencontrez un partenaire qui s’identifie comme étant Polyamous – c’est un moyen infaillible de conduire au chagrin. Soyez toujours clair sur votre motivation pour vous engager dans un style relationnel.
D’autres choses à considérer incluent:
à quoi ressemble votre relation polyamoureuse idéale? Compte tenu du nombre d’options qu’une personne peut avoir lors de la collaboration en polyamory, vous voudrez avoir une idée ferme sur ce à quoi vous aimeriez que cela vous ressemble. Voulez-vous finalement vivre avec quelqu’un ou partager des finances? Souhaitez-vous un certain niveau d’exclusivité? Vous prévoyez d’avoir des enfants un jour? De nombreuses personnes poly ont des enfants et les élèvent dans leurs polycules. Comme on dit – il prend un village. Comment gérez-vous actuellement la communication et l’honnêteté dans les relations? Êtes-vous prêt à mettre à niveau vos techniques de communication et votre honnêteté dans les relations? Êtes-vous possessif? Êtes-vous en mesure de maintenir les limites appropriées? Avez-vous des traumatismes d’attachement ou de relation qui pourraient avoir un impact sur votre capacité à être présente de manière saine? Il est important de répondre à ces questions et de travailler à travers tous les barrages routiers qui peuvent survenir.
Mythes sur le polyamory
Je veux dissiper quelques mythes sur le polyamory pendant que nous sommes sur le sujet. Quelque chose que j’entends souvent des gens qui ne s’engagent pas dans ce style relationnel, c’est qu’il est facile, tout au sujet du sexe, ou simplement pour les gens qui ne peuvent pas s’engager.
Voici le thé, les gens: avoir plusieurs partenaires est un travail difficile! Cela ne devrait pas être une surprise si vous y réfléchissez. Vous concluez des accords relationnels avec plusieurs personnes dans le but d’honorer les frontières, d’être honnête et de viser une communication très efficace. Tous ces éléments sont nécessaires pour que le polyamory fonctionne. Quand je rencontre des couples actuellement monogames pour les aider à ouvrir la relation. L’une de mes principales priorités est d’évaluer à quoi ressemble la communication et d’apporter des améliorations si nécessaire.
Décomposons le mythe du sexe. Alors que certaines formes de non-monogamie éthique sont purement sexuelles (par exemple, swing), les individus polyamoureux sortent et tombent amoureux de plusieurs personnes, il y a une abondance de potentiel romantique ici. Polyamory, lorsqu’il est fait de manière saine, vous oblige à vous engager auprès de plusieurs personnes. Ces engagements peuvent être différents en fonction des limites de ceux de la polycucule.
Polyamory peut être difficile à comprendre car, traditionnellement, nous avons une idée qu’il y a une âme sœur pour tout le monde, et il est difficile de secouer cette vue de romance. Si la monogamie ne vous convient pas tout à fait, j’espère que cet épisode vous aidera à explorer votre style relationnel. Peu importe où vous atterrissez sur le spectre des relations, il est important de respecter le respect, le consentement et l’honnêteté dans vos relations.
Citations + Sources Mackay, Judith. Sexe mondial: sexualité et pratiques sexuelles dans le monde. Thérapie sexuelle et relationnelle. 2001. Volume 16, numéro 1. Tout le contenu ici est uniquement à des fins d’information. Ce contenu ne remplace pas le jugement professionnel de votre propre fournisseur de santé mentale. Veuillez consulter un professionnel de la santé mentale agréé pour toutes les questions et problèmes individuels.
sur l’auteur
Dr Monica Johnson
dr. Monica Johnson est psychologue clinicienne et propriétaire de Kind Mind Psychology, une pratique privée à New York qui se spécialise dans les approches basées sur des preuves pour traiter un large éventail de problèmes de santé mentale (par exemple, la dépression, l’anxiété, les traumatismes et les troubles de la personnalité). De plus, elle se concentre sur le travail avec des groupes marginalisés de personnes, notamment BIPOC, LGBTQ + et des modes de vie alternatifs pour gérer le stress des minorités. Elle se consacre également à contribuer à son domaine professionnellement par la parole, la formation, la supervision et l’écriture. Elle parle régulièrement lors de conférences, fournit une formation et des ateliers dans les organisations, supervise les stagiaires en santé mentale et a co-écrit un livre pour les professionnels sur la lutte contre le stress basé sur la race en thérapie.
DR. Johnson a obtenu son baccalauréat de l’Université de Caroline du Sud, a terminé son PSY.D. à l’Arizona School of Professional Psychology, et a terminé son année de formation postdoctorale à Cherokee Health Systems à Knoxville, TN. Elle vit actuellement à Manhattan où elle se livre aux films d’horreur, au sarcasme et à l’introversion intentionnelle. Vous pouvez la trouver sur Instagram et en ligne sur KindMindPsych.com.
Vous avez une question à laquelle vous aimeriez que le Dr Johnson répond sur le psychologue avisé? Vous pouvez lui envoyer un e-mail à psychologue@quickanddirtytips.com ou laisser une messagerie vocale pour la ligne avisée de l’auditeur psychologue averti en appelant le (929) 256-2191.
Cette semaine sur le podcast, par demande d’un anonyme L’auditeur qui se demande si son partenaire déprimé pourrait la faire tomber, la psychologue avisée, le Dr Ellen Hendriksen, pèse si la dépression est contagieuse ou non. La réponse pourrait vous surprendre.
par Ellen Hendriksen, psychologue Savvy PhD 5 février 2016 Readepisode de 4 minutes # 99 Play Pause Écouter la dépression est contagieuse? Nous rencontrons actuellement des problèmes de lecture sur Safari. Si vous souhaitez écouter l’audio, veuillez utiliser Google Chrome ou Firefox.
La dépression est-elle contagieuse? La réponse courte est: oui, ce n’est pas appelé le rhume de la maladie mentale pour rien.
Mais comme la plupart des choses, c’est compliqué. La dépression est contagieuse, mais ce n’est pas comme si vous étiez infecté lorsque votre ami déprimé pleure sur votre épaule. Au lieu de cela, votre propre sensibilité ou immunité dépend de beaucoup de choses – votre génétique, votre histoire, le stress, etc.
Il est connu depuis près d’une décennie que les comportements sains et malsains sont contagieux – si vos amis arrêtent de fumer ou deviennent obèses, vous êtes plus susceptible de le faire aussi. Même le suicide peut venir en grappes.
La dépression est livrée avec son propre ensemble de comportements malsains – des discussions sésimistes, une critication de soi et des autres, annulant des plans sociaux, entrant dans des schémas de sommeil et d’alimentation malsains, et généralement irritable ou retiré. Et il s’avère que ces comportements – et les croyances négatives qui les conduisent – sont communiquées de la personne à la personne.
So colocat A demandé cet épisode, les conjoints de partenaires déprimés présentent également des symptômes dépressifs comparables.
Et ce ne sont pas seulement les personnes avec lesquelles vous vivez ou que vous voyez tous les jours – les émotions peuvent être contagieuses à moins de trois degrés de séparation. Better Hope Kevin Bacon n’est pas déprimé ou la totalité d’Hollywood baisse.
Regardons de plus près une étude des colocataires universitaires qui est sorti en 2014. Les chercheurs ont étudié plus de 100 paires de colocataires de première année nouvellement affectés à Move- dans, puis encore trois et six mois plus tard. Ils ont examiné, entre autres, les symptômes de dépression des élèves et leur tendance à ruminer – c’est-à-dire leur tendance à s’emmêler dans leurs propres sentiments moche et à être obsédé par les causes et les conséquences du sentiment de mal.
Effectivement, les étudiants de première année qui ont été associés à un colocataire avec une tendance à ruminer ont également pris la tendance, ce qui a considérablement augmenté leur risque de dépression. Pour être clair: les symptômes de dépression eux-mêmes n’étaient pas contagieux, mais les styles de réflexion l’ont été. Les étudiants de première année qui ont «attrapé» un style de pensée ruminatif de leurs colocataires avaient deux fois plus de symptômes dépressifs après six mois que ceux qui n’ont pas ramassé le style de réflexion.
Ensuite, une étude de 2015 a montré que la dépression peut être rendu contagieux dans des conditions de laboratoire, au moins chez le rat. Les chercheurs ont induit une dépression chez le rat en les mettant à des facteurs de stress imprévisibles et incontrôlables sur plusieurs semaines – une approximation étroite du stress chronique chez les personnes. Pour les rats, cela signifiait des choses comme garder les lumières allumées pendant 48 heures à une étendue et renverser de l’eau sur leur literie – tout probablement mieux que d’être un animal de compagnie dans une classe de maternelle, mais encore assez pour rendre les rats déprimés. Pour un rat, cela ne signifie pas refuser les invitations à la soirée des rats – cela signifie une apathie pour l’eau de sucre, le plus grand plaisir d’un rat de laboratoire. Il s’agit d’un marqueur de l’Anhédonie – un symptôme caractéristique de la dépression chez les personnes et, apparemment, des rats.
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sur l’auteur
Ellen Hendriksen, PhD
dr. Ellen Hendriksen a été l’hôte du podcast psychologue Savvy de 2014 à 2019. Elle est psychologue clinicienne au Center for Anxiety and Related Disorders de l’Université de Boston (carte). Elle a gagné son doctorat. à l’UCLA et a terminé sa formation à la Harvard Medical School. Son approche scientifiquement basée sur le jugement zéro est régulièrement présentée dans Psychology Today, Scientific American, The Huffington Post et de nombreux autres médias. Son premier livre, How To Be Yourself: Quiet Your Inner Critic and Rise Above Social Anxiété, a été publié en mars 2018.
Abonnez-vous au podcast Savvy Psychologue Spotify Google Stitcher
Apprenez des techniques pour réparer rapidement les muscles, récupérer après un Entraînement, et réduisez les douleurs post-entraînement.
Par Ben Greenfield Get-Fit Guy 27 juin 2011 3 minutes ReadEpisode # 14 Plare Pause Écoutez comment récupérer après un entraînement Nous rencontrons actuellement des problèmes de lecture sur Safari. Si vous souhaitez écouter l’audio, veuillez utiliser Google Chrome ou Firefox.
Personne n’aime être douloureux, et j’ai reçu plusieurs questions de lecteurs sur la façon d’éliminer les maux et les douleurs lancinants qui proviennent d’un entraînement. Bien que la douleur soit complètement naturelle et ne peut pas être complètement éliminée, elle peut être contrôlée et que les protocoles de récupération appropriés garantiront non seulement des niveaux minimaux d’inconfort après l’entraînement, mais permettra également à votre corps de récupérer plus rapidement et de gagner une meilleure forme physique de l’entraînement. >
Pourquoi la récupération de l’entraînement est importante
comme vous l’avez appris dans l’article «Comment construire les muscles« Les muscles se développent et deviennent plus forts lorsqu’ils sont soumis à des forces qui provoquent de minuscules larmes dans les fibres musculaires. Pendant la période de récupération après une séance d’entraînement, le corps répare ces fibres et construit de nouveaux vaisseaux sanguins dans la zone stressée. De plus, les composants générateurs d’énergie des cellules développent une capacité de travail plus élevée et la densité osseuse augmente.
mais aucune de ces adaptations positives ne se produira à moins que le corps ne soit repos et récupération. En d’autres termes, faire de l’exercice sans récupérer correctement, c’est un peu comme essayer de cuisiner une casserole sans allumer le four – vous finirez par passer par tous les mouvements de cuisson de la casserole, mais n’obtenez aucun résultat final, ou du moins un très décevant produit final.